Tennis de table : 2 championnats par année, quels avantages ?

Je suis totalement pour l’instauration de 2 championnats par saison, par année.

Voici les raisons :

1) Les équipes trop fortes ou trop faibles ne s’ennuient pas pendant un
an dans une division –> meilleur ajustement du niveau des divisions

2) Possibilité de monter de deux divisions par an

3) Moins de matchs « morts » sans intérêt –> chaque match devient important et intéressant !

4) Moins de matchs « morts » sans intérêt
–> moins d’absentéisme

5) Moins de matchs « morts » sans intérêt
–> moins d’arrangement (des équipes qui ne jouent rien et qui laissent les points à d’autres)

6) Moins de matchs « morts » sans intérêt
–> plus de motivation des joueurs

7) Moins de matchs « morts » sans intérêt
–> moins de forfaits

8) Les jeunes ne perdent plus leur temps dans une division qui ne leur correspond pas –> ils peuvent progresser plus vite.

La province de Namur et de Luxembourg semblent tout à fait d’accord avec ce système mais sont freinés par la province de Liège et Hainaut.

Pourquoi ne pas essayer avant de s’opposer ?

Bref, je ne vois que des avantages à ce système qui est pratiqué en
France (et aux Pays-Bas d’après ce qu’on m’a dit).

Arguments des détracteurs :

1) Certains clubs doivent réserver leur salle un an à l’avance car ils ne louent la salle qu’une semaine sur deux:

Réponse-solution :  Il suffit de programmer le calendrier du deuxième tour en commençant par ces clubs-là.  Le responsable du calendrier de Namur me dit que c’est tout à fait faisable.

2) La blessure d’un joueur pendant quelques mois pourrait compromettre le maintien d’une équipe.

Réponses-solutions :
– Il suffit de faire remonter l’équipe durant la deuxième partie de l’année
– Le maintien serait également compromis avec une saison entière d’un an
– On ne peut pas règlementer tout un système en fonction de cas particuliers

3) La mi-saison est trop courte pour refaire tout un calendrier.

Réponse-solution : faux, il faut une semaine à temps plein pour préparer les calendriers.  Le responsable de Namur me dit que c’est tout à fait faisable.

En espérant que cette proposition puisse faire son chemin et convaincre les décideurs de notre sport.

Bruno Dobbelstein

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