8 raisons de ne pas imposer de QUOTAS liés au sexe en politique et dans les entreprises !

Faut-il instaurer des « quotas sexuels » ?

n°169 – écrit le 16/11/2012

8 raisons de ne pas imposer de quotas de femmes en politique et dans les entreprises (publiques et privées).

Après l’imposition des quotas en politique, et dans les entreprises privées, voilà arrivé maintenant les quotas dans les entreprises privées :
http://www.lalibre.be/actu/international/article/777847/un-quota-de-femmes-dans-les-entreprises-tres-negatif-pour-les-femmes.html

1) Les partis politiques sont obligés de refuser des candidatures de personnes motivées par la politique, et doivent aller chercher des candidates non motivées pour les placer sur leur liste et pour « se conformer aux lois ».

2) On ne peut pas forcer les personnes à s’engager, à s’investir dans la politique si celles-ci ne s’y intéressent pas.

3) Il faut engager les personnes selon leurs compétences, pas selon leur sexe.  Si un femme est la plus compétente, il faut l’engager !

4) Il faut lutter contre les discriminations sans imposer de quotas.

5) Tant qu’on y est, pourquoi ne pas imposer des quotas de femmes dans la maçonnerie, dans le plafonnage, à l’armée, dans la police,….
ou des quotas d’hommes dans les crèches…

6) Ce sont des féministes « extrémistes » qui proposent ces lois illogiques en dépit du bon sens.

7) Il faut accepter les différences génétiques, physiologiques et psychologiques entre les hommes et les femmes.

8) Il faut imposer des quotas lors qu’il y a une valeur ajoutée scientifiquement prouvée à l’équilibre homme/femme
Les quotas ne doivent être imposés que si l’équilibre des sexes est important et apporte un meilleur travail.

Et les quotas d’hommes dans l’enseignement ?

Alors que tout le monde accepte l’importance des deux sexes, des deux parents dans l’éducation des enfants, on laisse l’enseignement se féminiser exagérément sans réagir, sans imposer de quota, alors que dans ce domaine, l’équilibre des sexes serait utile et justifié.

Alors que dans les année 50, il y avait 60 à 70 % d’hommes dans l’enseignement primaire, aujourd’hui, il y a 85 % de femmes institutrices.

 

 

 

Ancienne version de la réflexion ci-dessous datant du  30 juin 2011 :

Après l’imposition d’un quota de x % de femmes sur les listes politiques, voici à présent l’imposition d’un quota de 33% de femmes dans les conseils d’administrations des entreprises publiques ET PRIVÉES cotées en bourse.

Je m’oppose à ces quotas pour les raisons suivantes :

1) Les quotas ne tiennent pas compte du nombre de candidats ?
S’il y a 80% de candidats masculins, il est normal de sélectionner 80% d’hommes.
Il serait discriminatoire de choisir 50 % de femmes sur 20 % de candidates.

2) Les quotas ne tiennent pas compte des motivations des personnes.
Aujourd’hui, le quota de femme oblige les partis à aller chercher des femmes à leur domicile, des femmes qui ne s’intéressent pas plus que ça à la politique
au détriment de personnes motivées qui ont envie de faire de la politique.
Résultats : on obtient des listes avec des candidats non motivés, et des absents motivés.

3) La sélection doit se faire sur base de compétences et d’examens (écrits) et pas sur une base de quotas. 
S’il y a une discrimination sur base du sexe, il faut la combattre !  La sélection ne doit pas se faire selon le sexe du candidat.

4) Les quotas nient les différences génétiques qui existent entre homme et femmes.

Il est aussi statistiquement prouvé, que les hommes sont majoritairement plus cartésiens (mathématiques) et les femmes plus littéraires.
Je ne veux pas généraliser, mais simplement attirer l’attention sur les différences qui existent génétiquement entre les hommes et les femmes.
Il est aussi statistiquement prouvé que les hommes s’intéressent plus à la politique que les femmes.
On ne peut donc pas nier ces différences et empêcher les personnes motivées et compétentes d’accéder un poste sous prétexte qu’il est un homme et qu’il faut un quota de femmes.

5) Pourquoi n’exigent-on pas ces quotas dans le SENS INVERSE, lorsqu’il y a trop peu d’hommes (l’enseignement primaire et maternelle avec moins de 10 % d’hommes)  ?????
Y aurait-il deux poids deux mesures ?  L’enseignement est pourtant un secteur d’éducation où il serait important d’avoir un équilibre.

Bruno Dobbelstein
30 juin 2011

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