J’ai perdu 12 kg en appliquant 12 principes (voir poster ci-dessous) dont notamment le jeûne partiel.
(de 83,3 kg à 71,6 kg en 4,5 mois pour 1,79 m)
Après 4 mois, j’ai voulu savoir si ces jeûnes et ces habitudes alimentaires avaient un impact positif ou négatif sur ma santé.
Résultat de la prise de sang : excellent, rien à dire, tout est parfait, tout est dans la norme
(voir pièce jointe Résultats prise de sang après 4,5 mois)
Pourquoi ? Contexte de ce « régime ».
J’avais l’habitude de devenir très nerveux lorsque j’avais faim.
Je me suis toujours demandé comment quelqu’un pouvait ne pas manger sans avoir faim, comment certains arrivaient à jeûner, comment un anorexique faisait pour ne pas manger.
J’ai donc voulu tester le jeûne pour savoir si j’étais capable de dépasser la sensation de faim, pour savoir ce qui se passait dans le corps lorsqu’on ne mangeait pas.
Comme j’avais plusieurs kilo en trop, c’était une motivation supplémentaire de tester le jeûne.
Prérequis :
- On peut vivre plusieurs semaines (40 jours) sans manger (en buvant de l’eau).
- La sensation de faim disparait.
- Le corps et l’estomac ont la capacité de s’adapter. L’estomac diminue de volume, réclame moins à manger et la sensation de faim diminue voire disparait.
- Le jeûne d’un à trois jours est bon pour la santé. Il permet de nettoyer les intestins, le foie et de diminuer un excès de graisses.
Ce qu’en pensent les spécialistes :
Ci-dessous, un extrait d’un article du journal « Le Monde »
« ON MANGE TROP »
Néanmoins, si un jeûne total n’est pas recommandé, de courtes cures, durant lesquelles on met de côté le sucre et les graisses saturées, par exemple, ne peuvent pas faire de mal, nuance Daniel Tomé. « En fait, c’est une manière de compenser le fait qu’on en mange trop, explique-t-il. Mais une personne qui a un bon comportement alimentaire n’a pas besoin de se restreindre. »
Dans le contexte du mode de vie occidental marqué par l’abondance alimentaire et la sédentarisation, les bienfaits du jeûne peuvent en effet tout simplement s’expliquer par la perte de poids occasionnée – bienfaits de courte durée, donc. De manière générale, « le bénéfice du jeûne repose à l’origine sur des arguments scientifiques sérieux : des expériences sur des souris ont montré qu’une restriction énergétique de 30 % augmentait leur longévité », note Daniel Tomé.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2013/08/15/le-jeune-en-vogue-mais-controverse-est-il-si-bon-pour-la-sante_3443212_3244.html#QpVrKtRTHJl96QJE.99
Les étapes du jeûne
Le corps a la capacité de s’adapter à la pénurie de nourriture pendant une quarantaine de jours, en puisant dans ses réserves énergétiques. Pendant les premières quatre à six heures, il utilise le glucose et les nutriments ingérés, processus normal d’adaptation à la prise discontinue de nourriture. Puis survient l’étape de la glycogenèse : il puise dans ses réserves de glycogène dans le foie, afin de libérer rapidement du glucose.
Environ seize heures après le dernier repas, le glycogène hépatique est épuisé. L’organisme commence alors à puiser dans sa graisse (triglycérides). Au bout de deux à trois jours, sa production de corps cétoniques – seule source énergétique que le cerveau est capable de consommer en l’absence de glucose – s’accélère.
Lorsque les réserves lipidiques (graisses) sont épuisées, le corps commence à mobiliser soit ses acides aminés musculaires, soit ses protéines, qu’il puise jusque dans la trame osseuse, pour toujours maintenir un certain niveau énergétique et un minimum de fonction cérébrale. C’est la néoglycogenèse. Cette situation est toutefois fragile, et ne peut perdurer au-delà d’une quarantaine de jours, quand la disponibilité en acides aminés se tarit. La survie n’est alors plus possible.
Attention, si le corps n’a pas de réserves de graisses, de lipides, il n’est pas recommandé de commencer ou de prolonger un jeûne.
Pour connaitre les 12 principes de base que j’ai appliquer, je vous propose un poster A2 que j’ai réalisé pour 2 € seulement.
Voici un aperçu :