La peine de mort : deux poids, deux mesures ? 4 arguments

Le peine de mort a été abolie en Europe, et semble taboue.  Elle ne semble plus pouvoir être réappliquée.

Et pourtant, lors des dernières perquisitions, lors des derniers attentats (de Paris du 13 novembre 2015), les policiers ont tué pas mal de terroristes.

 

Alors je me pose cette question :

1) Pourquoi la « peine de mort » est-elle autorisée lors d’intervention policière, avant et pendant un attentat,

alors qu’elle devient interdite APRÈS les attentats, lors d’un jugement pour les mêmes délits que ceux qui ont été tués ?

La protection de la population a-t-elle plus de valeur avant qu’après ?

Deuxième question :

2) Lorsqu’un multirécidiviste commet une deuxième fois, une troisième fois, une quatrième fois un meurtre, après une à plusieurs peines de prison, faut-il encore lui donner une « chance » en sachant que tous les morts qu’il a provoqués n’ont pas eu ces multiples chances ?

Quand certaines personnes semblent « irrécupérables », ne faudrait-il pas réinstaurer la peine de mort ?

Troisième question :

3) La prison semble radicaliser encore plus les délinquants et favoriser la récidive.

Pourquoi ne trouve-t-on donc pas d’autres remèdes pour rééduquer les délinquants, pour « nettoyer le cerveau » et pour éviter les récidives ?

Le service militaire, le travail et l’isolement stricte (sans internet) me semble de bons moyens pour remettre ces personnes sur le droit chemin.

 

 

4) L’emprisonnement coute à la population 125 € par jour, soit 3750 €/mois, soit 45 600 € par an. Une perpétuité de 20 ans nous coute donc près de 1 000 000 €.

Cet argent ne pourrait-il pas être investi dans l’éducation et la prévention si la peine de mort était appliquée ?

 

 

 

 

 

 

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