Les caméras sur les lieux publics,
une solution aux délits impunis,
une solution pour supprimer les délits.
Je viens d’être victime d’une tentative d’effraction sur mon véhicule pour la deuxième fois sur un parking de l’hôpital dans les environs de Charleroi.
La plainte n’a même pas été déposée car je sais à l’avance qu’elle n’aboutira à rien.
Tout ceci n’aurait pas eu lieu si les parkings publics étaient surveillés par des caméras !
La caméra de la SCNB a permis de trouver les coupables du crime de Joe Van Holsbeek.
Sans cette caméra, les criminels courraient toujours. C’est bien la preuve qu’il faut installer ces caméras sur tous les lieux publics.
Les criminels de Joe ne savaient probablement pas qu’ils étaient filmés. S’ils avaient su, ils n’auraient d’ailleurs pas commis ce meurtre.
Avec la généralisation des caméras, non seulement, tous les délinquants pourront être retrouvés, mais les délits disparaitront (un criminel qui sait qu’il est filmé ne commettra pas son délit !)
Les opposants à ce système crieront qu’il s’agit d’une atteinte à la vie privée.
Je leur répondrai ceci :
1) Les lieux publics ne sont pas les lieux privés. La vie privée à son domicile est respectée.
2) Je n’ai rien à cacher sur les lieux publics et être filmé ne me dérange pas. Être filmé dérange ceux qui ont quelque chose à se reprocher, ceux qui commettent un délit (vol,…).
3) Le film n’est utilisé que pour solutionner les délits et ne sont regardés que par des agents de police assermentés.
4) Les films sont supprimés après quelques semaines si aucun délit n’a été signalé.
5) Les caméras vont rendre un sentiment de sécurité auprès des gens, et supprimeront la peur qui règne en eux. Qu’est-ce qu’on ne donnerait pas pour vivre et circuler en paix, en sécurité dans n’importe quelle ville ou lieux publics.
Alors, qu’attend-on pour généraliser cette technique (moins couteuse et plus efficace que d’engager du personnel) ?
Bruno Dobbelstein
Des caméras dans les lieux publics.
24 juillet 2009
Pension-Action
Pensionnés, travaillez (autrement) !
L’erreur de nombreux pensionnés consiste à penser que la pension signifie « ne plus rien faire » !
Ces personnes vont vite comprendre que cette inactivité est synonyme d’ennui et de dépression.
Les congés, les vacances ne sont appréciables que s’ils sont précédés du travail. Les congés perpétuels (chômeurs-pensionnés-invalides) peuvent devenir des cauchemars.
C’est pourquoi, je suis persuadé que les pensionnés doivent continuer à travailler mais autrement, de manière plus légère et plus calme.
Quelques suggestions d’activités :
1) Continuer le même travail mais à mi-temps ou à quart-temps et valoriser son expérience, les compétences acquises durant toute sa vie.
2) Réaliser les rêves qui n’ont pas pu être réalisés avant. (Exemple : « J’ai toujours voulu travailler dans une ferme. Je vais m’occuper d’animaux. »; « J’ai toujours voulu devenir peintre »…)
3) Toutes les associations sont en manque de bénévoles. C’est une opportunité pour les pensionnés et ceux qui s’ennuient !
4) Transmettre son savoir et ses compétences aux plus jeunes. Les pensionnés ont une expérience qu’aucun jeune ne peut apprendre à l’école. Toutes les erreurs commises durant leur vie et qui ont permis d’apprendre, d’évoluer peuvent et doivent servir aux générations futures. Pensionnés, ne quittez pas ce monde sans avoir transmis votre savoir, votre savoir-faire.
Remarque :
Les pensionnés « intellectuels » arrivent souvent à mieux occuper leur temps libre, car si leur capacité physique diminue, leur cerveau continue à fonctionner correctement très longtemps. Ils savent ainsi plus facilement travailler à l’ordinateur, lire, écrire,…
Les pensionnés « manuels » qui sont habitués à travailler physiquement, voient leurs capacités diminuer avec l’âge et n’arrivent pas à faire ce qu’ils aimeraient. Ceux-là doivent accepter de travailler moins, de travailler autrement. Ils peuvent par exemple accompagner les jeunes travailleur, les conseiller, leur expliquer beaucoup de choses utiles.
Conclusion
Les personnes âgées ont de la valeur et peuvent apporter leur « valeur ajoutée » aux entreprises, aux malades, aux jeunes, aux travailleurs, aux enfants,…
Malheureusement, les jeunes ne s’en rendent pas compte, et la société a peut-être perdu le respect des anciens.
L’apparition des « home », ces « boites à vieux » n’arrange pas cette situation. Reprenons les bonnes habitudes de nos « ancêtres » et faisons participer nos pensionnés à la vie de famille, à la vie professionnelle, à la vie du village.
« Le travail, c’est la santé ». Cette devise est valable pour tous les âges !
Bruno Dobbelstein